« Si les impôts augmentent, c’est qu’il n’y plus un sou dans les caisses.»
Philippe LAURENT – Le parisien – 23 avril 2001
« Je n’ai jamais fonctionné à l’économie. Je municipalise tout. Pour rendre un service à caractère professionnel, je préfère le cadre de la fonction publique que les associations. »
Philippe LAURENT – L’Humanité – 3 juillet 2004
« La dette publique, ce n’est pas une affaire de gestion, c’est un choix politique. »
Philippe LAURENT – Les Echos – 11 janvier 2006
« La dette publique ; et si ce n’était pas si grave… »
Philippe LAURENT – La revue parlementaire N°885- Février 2006
« On va se retrouver avec UMP sans fois ni loi, Avec eux, c’est le devoir d’égoïsme qui prime. Cela me déprime d’avance. »
Philippe LAURENT – Le parisien – 13 mars 2008
« Contrat signé avec l’ancien directeur des Services techniques : 52000 € par an en échange de conseils. Soit 4333 € mensuels pour quelques jours par mois.
Décision du maire N°2011-36 du 10 février 2011 affichée sur les panneaux administratifs de la ville en février 2011.
« Compte tenu de la situation financière de la plupart des communes avec la diminution de des dotations de l’Etat et la baisse des droits de mutation, on commence à tirer la langue. […]
Je ne vois donc pas très bien comment on va pouvoir s’en sortir sans qu’il y ait un jour une augmentation fiscale.
Je pense que cela n’aura pas lieu cette année, avant les municipales, peut-être pas en 2014… Mais moi, je prévois en 2015 un réajustement fiscal. »
Philippe LAURENT – Revue L’Hémicycle N°7 – 30 Janvier 2013
« Il va falloir fermer des établissements publics communaux. Dans ma commune par exemple, nous allons commencer à fermer des crèches dès l’année prochaine.[…]
C’est un choix politique que d’avoir des crèches, et pas une obligation – un choix qui, au passage, a permis le maintien de la natalité en France.
Mais c’est un des budgets les plus importants et les moins difficiles à remettre en cause. »
Philippe LAURENT – Revue de L’AMF – Septembre 2013
«J’ai l’investiture de l’UDI. Le soutien de l’UMP aussi, mais je ne l’affiche pas.»
«le prochain mandat va être plus difficile. Il y aura moins de ronds».
«Dans les quartiers populaires de la commune, quand vous faites du porte-à-porte, les gens sont contents que le maire vienne les voir. Les autres sont extrêmement exigeants. Le mot « scandaleux » revient souvent. Un fil qui pend, c’est scandaleux, une poubelle pas ramassée, monsieur le maire, c’est scandaleux…»
Philippe LAURENT – Libération – 7 mars 2014