Charles de Gaulle a dit…

Citations:

« Ce qu’il faut, pour les peuples, c’est la compréhension des peuples. Les régimes, nous savons ce que c’est : des choses qui passent. Mais les peuples ne passent pas. »
Charles de Gaulle

Et vous voudriez que j’aille commémorer leur débarquement, alors qu’il était le prélude à une seconde occupation du pays ? Non, non, ne comptez pas sur moi!

Charles de Gaulle

M’associer à la commémoration d’un jour où on demandait aux Français de s’abandonner à d’autres qu’à eux-mêmes, non !

Charles de Gaulle

Vous croyez que les Américains et les Anglais ont débarqué en Normandie pour nous faire plaisir ?

Charles de Gaulle

Les Américains ne se souciaient pas plus de libérer la France que les Russes de libérer la Pologne.

Charles de Gaulle

Roosevelt était un type qui voulait dominer l’univers et, bien entendu, décider du sort de la France. Alors, de Gaulle, ça l’embêtait ; il ne le trouvait pas assez souple. 

Charles de Gaulle

Roosevelt, c’était pareil, il ne traitait qu’avec des gens qui étaient mes ennemis. Il avait autour de lui, à Washington, des types comme Chautemps.

Charles de Gaulle

La politique de Roosevelt, c’était exactement celle qu’ont aujourd’hui les Américains dans le Sud-Est asiatique. Ils ne peuvent pas en imaginer d’autre. Des marionnettes, c’est ça qu’ils veulent en face d’eux.

Charles de Gaulle

– « La difficulté attire l’homme de caractère, car c’est en l’étreignant qu’il se réalise lui-même. »
Extrait de ses Mémoires de guerre
– « Les choses capitales qui ont été dites à l’humanité ont toujours été des choses simples. »
Cité par André Malraux dans Les chênes qu’on abat
– « La fin de l’espoir est le commencement de la mort. »

– « Prenez invariablement la position la plus élevée, c’est généralement la moins encombrée. »
Cité par Henri Amouroux dans Le peuple réveillé
– « La France ne peut être la France sans la grandeur. »
Extrait de L’appel
« L’autorité ne va pas sans prestige, ni le prestige sans l’éloignement. »
« Il est vrai, que parfois, les militaires s’exagérant l’impuissance relative de l’intelligence, négligent de s’en servir. »
« La gloire se donne seulement à ceux qui l’ont toujours rêvée. »
Extrait de Vers l’armée de métier
« Toutes les doctrines, toutes les écoles, toutes les révoltes, n’ont qu’un temps. »
– « Il n’y a que les arrivistes pour arriver. »
« Le caractère, vertu des temps difficiles. »
Extrait de Le fil de l’épée
-« Délibérer est le fait de plusieurs. Agir est le fait d’un seul. »
Extrait de ses Mémoires de guerre
« Quant au pouvoir, je ne saurais, en tout cas, quitter les choses avant qu’elles ne me quittent. »
Extrait de Le Salut, départ
« Quant au pouvoir, je ne saurais, en tout cas, quitter les choses avant qu’elles ne me quittent. »
– « La véritable école du Commandement est la culture générale. »
Extrait de Vers l’armée de métier
« La guerre, c’est comme la chasse, sauf qu’à la guerre les lapins tirent. »
– « La pire calamité après un général bête, c’est un général intelligent. »
« Pour faire le blocus de Monaco, il suffit de deux panneaux de sens interdit. »
« Ce qu’il faut surtout pour la paix, c’est la compréhension des peuples. Les régimes, nous savons ce que c’est : des choses qui passent. Mais les peuples ne passent pas. »
Extrait d’un Discours à Dunkerque – Septembre 1959
– « Je parle. Il le faut bien. L’action met les ardeurs en oeuvre. Mais c’est la parole qui les suscite. »
Extrait de ses Mémoires de guerre
– « L’avenir n’appartient pas aux hommes… »
Extrait d’un Discours – Décembre 1967
« Dans ce monde d’aujourd’hui, on ne peut dissocier le sentiment et la politique. »
Extrait d’un Discours à Varsovie – Septembre 1967
« Je ne vais pas mal. Mais rassurez-vous, un jour, je ne manquerai pas de mourir. »
Extrait d’une Conférence de presse – Février 1965
Bas du formulaire
« Comment voulez-vous gouverner un pays où il existe 258 variétés de fromage ? »
« Recevoir un grand nombre de journalistes est un plaisir. Un petit nombre un ennui. Un seul d’entre eux : un supplice. »
– « Le désir du privilège et le goût de l’égalité, passions dominantes et contradictoires des Français de toute époque. »
Extrait de La France et son armée
« J’aime bien ceux qui me résistent ; l’ennui, c’est que je ne peux les supporter. »
« L’administration, c’est mesquin, petit, tracassier. Le gouvernement, c’est pénible, difficile, délicat. La guerre, voyez-vous, c’est horrible, mais la paix, la paix, il faut bien le dire, c’est assommant. »
« Comme un homme politique ne croit jamais ce qu’il dit, il est étonné quand il est cru sur parole. »
– « Comme un homme politique ne croit jamais ce qu’il dit, il est étonné quand il est cru sur parole. »
– « Les grands pays le sont pour l’avoir voulu. »
– « Le difficile n’est pas de sortir de l’X mais de sortir de l’ordinaire. »
« Les Français, où qu’ils le cherchent, ont besoin de merveilleux. »
– « La grandeur est un chemin vers quelque chose qu’on ne connaît pas. »
– « Le gouvernement n’a pas de propositions à faire, mais des ordres à donner. »
« Face à l’événement, c’est à soi-même que recourt l’homme de caractère. »
Extrait de Le fil de l’épée
« Face aux grands périls, le salut n’est que dans la grandeur. »
Extrait de Mémoire de guerre
« La vie n’est pas le travail : travailler sans cesse rend fou. »

Cité par André Malraux dans Les Chênes qu’on abat
« A la base de notre civilisation, il y a la liberté de chacun dans sa pensée, ses croyances, ses opinions, son travail, ses loisirs. »

Réaction après les représailles allemandes suite aux attentats de la Résistance [23 octobre 1941

« Si les Allemands ne voulaient pas recevoir la mort de nos mains, ils n’avaient qu’à rester chez eux et ne pas nous faire la guerre. Tôt ou tard, d’ailleurs, ils sont tous destinés à être abattus, soit par nous, soit pas nos alliés. »

Extrait du Discours au club français d’Oxford – 25 Novembre 1941
« L’élévation d’un homme au-dessus des autres ne se justifie que s’il apporte à la tâche commune l’impulsion et la garantie du caractère. »
– « Il n’y a de réussite qu’à partir de la vérité. »

Extrait de ses Mémoires
« Si l’intelligence ne suffit point à l’action, il va de soi qu’elle y prend part. »
Extrait de Le fil de l’épée
« L’action, ce sont les hommes au milieu des circonstances. »
Extrait de Vers l’armée de métier
« Il faut à la force, pour tenir son rang, un certain caractère d’assurance. »
Extrait de Le fil de l’épée
« La parole est au peuple. La parole du peuple, c’est la parole du souverain. »
Extrait d’un Discours – 25 août 1944
« La politique et la stratégie de la guerre ne sont qu’une perpétuelle concurrence entre le bon sens et l’erreur. »
Extrait d’un Discours – 4 Mai 1943
« La ruse doit être employée pour faire croire que l’on est où l’on est pas, que l’on veut ce qu’on ne veut pas. »
Extrait de Vers l’armée de métier
« Le succès de l’épreuve de la guerre, comme le bonheur dans la vie, n’existe que par comparaison. »
Extrait des Discours
– « L’épée est l’axe du monde et la grandeur ne se divise pas. »
Extrait de Vers l’armée de métier
« Ne croyez-vous pas qu’à la guerre la plus grande franchise soit la plus grande habileté ? »
Extrait d’un Discours – 9 Février 1943
– « Il vaut mieux avoir une méthode mauvaise plutôt que de n’en avoir aucune. »
Extrait de Le fil de l’épée
« On ne fait rien de grand sans de grands hommes, et ceux-ci le sont pour l’avoir voulu. »
Extrait de Vers l’armée de métier
« La démocratie, c’est le gouvernement du peuple exerçant la souveraineté sans entrave. »
Extrait d’un Discours – 27 Mai 1942
« La justice sociale se fonde sur l’espoir, sur l’exaltation d’un pays, non sur les pantoufles. »
« Tout français désire bénéficier d’un ou plusieurs privilèges. C’est sa façon d’affirmer sa passion pour l’égalité. »
« La diplomatie est l’art de faire durer indéfiniment les carreaux fêlés ! »
– « L’avantage d’être un causeur brillant ne vaut pas celui d’être replié sur soi-même. »
– « Les plus nobles principes du monde ne valent que par l’action. »
– « Les gaulois n’ont pas changé. Leurs chefs détestent obéir. Mais ils adorent discuter. »
– « C’est purement négatif de toujours remettre tout en cause, c’est, en somme, la marque des faibles, des incapables. »
– « J’ai entendu vos points de vue. Ils ne rencontrent pas les miens. La décision est prise à l’unanimité. »
– « En général, les gens intelligents ne sont pas courageux et les gens courageux ne sont pas intelligents. »
« S’il faut la force pour bâtir un État, l’effort guerrier ne vaut qu’en vertu d’une politique. »
– « Les diplomates ne sont utiles que par beau temps. Dès qu’il pleut, ils se noient dans chaque goutte. »
– « L’ambition individuelle est une passion enfantine. »
Cité par André Malraux dans Les chênes qu’on abat
« Rien ne rehausse l’autorité mieux que le silence, splendeur des forts et refuge des faibles. »
Extrait de Le fil de l’épée
« On s’est aperçu qu’il n’y avait pas de montagnes entre l’Angleterre et la France ; il y a seulement un canal. »
Extrait d’une Conférence de presse – Février 1965
« L’indépendance, c’est la clochardisation. »
Extrait d’un Discours – 10 mars 1960
« Les exigences d’un grand peuple sont à l’échelle de ses malheurs. »
Extrait de ses Mémoires de guerre
« Toujours le chef est seul en face du mauvais destin. »
Extrait de ses Mémoires de guerre
« Le caractère, c’est d’abord de négliger d’être outragé ou abandonné par les siens. »
Cité par André Malraux dans Les Chênes qu’on abat
« Etre inerte, c’est être battu. »
« Les grandes choses se font par la valeur des hommes bien plus que par des textes. »
– « Les hommes peuvent avoir des amis, pas les hommes d’Etat. »
Extrait de Paris-Match – 9 Décembre 1967
« La grandeur a besoin de mystère. On admire mal ce qu’on connaît bien. »
– « Le pouvoir, c’est l’impuissance. »
– « On ne devrait plus accepter de responsabilités suprêmes au-delà de soixante ans. »

Cité par J.P. Tournoux dans La tragédie du Général
« Au sommet des affaires on ne sauvegarde son temps et sa personne qu’en – se tenant méthodiquement assez haut et assez loin. »
Extrait de ses Mémoires de guerre
« Si les policiers n’étaient pas bêtes, ils ne seraient pas des policiers. »
Cité par Ernest Mignon dans Les mots du Général
– « Dans toute association de deux hommes, il y en a toujours un qui se fait porter par l’autre. »
« Le patriotisme, c’est aimer son pays. Le nationalisme, c’est détester celui des autres. »
« Peut-être la politique est-elle l’art de mettre les chimères à leur place ? On ne fait rien de sérieux si on se soumet aux chimères, mais que faire de grand sans elles. »
– « Les traités, voyez-vous, sont comme les jeunes filles et les roses : ça dure ce que ça dure ! »
– « La France fut faite à coups d’épée. La fleur de lys, symbole d’unité nationale, n’est que l’image d’un javelot à trois lances. »
Extrait de La France et son armée
« Le talent est un titre de responsabilité. »
– « Tout peut, un jour, arriver, même qu’un acte conforme à l’honneur et à l’honnêteté apparaisse en fin de compte, comme un bon placement politique. »
Extrait de ses Mémoires de guerre
« En notre temps, la seule querelle qui vaille est celle de l’homme. C’est l’homme qu’il s’agit de sauver, de faire vivre et de développer. »
Extrait d’une conférence de presse Palais de l’Elysée – 25 Mars 1959
« La politique, quand elle est un art et un service, non point une exploitation, c’est une action pour un idéal à travers des réalités. »
Extrait d’une Conférence de presse – 30 Juin 1955
« Je suis un homme qui n’appartient à personne et qui appartient à tout le monde. »
Extrait d’une Conférence de presse -19 Mai 1958
« Soyons fermes, purs et fidèles ; au bout de nos peines, il y a la plus grande gloire du monde, celle des hommes qui n’ont pas cédé. »
Extrait d’un Discours – 14 juillet 1943
« Je suis un monarchiste, la République n’est pas le régime qu’il faut à la France. »
– « La réforme oui, la chienlit non ! »
Extrait de Mai 1968

– « Il est proposé, en même temps, de rénover le Sénat, actuellement réduit à un rôle de plus en plus accessoire. »
Extrait de l’ allocution du 11 mars 1969
« Je vais en Amérique latine sans programme diplomatique bien précis, mais en quelque sorte instinctivement. Peut-être est-ce important. Peut-être est-ce le moment. »
Extrait d’une Lettre à Michel Debré le 18 septembre 1964
« Ici peut-être plus que nulle part ailleurs, les Français qui se trouvent occupés, qui s’y trouvent en activités, intellectuelle, économique, technique, scolaire, religieuse, tous ces Français là nous représentent. »
Extrait du discours au cours de son voyage en Argentine le 3 octobre 1964
« Ce que vous êtes, ce que vous faites, dans une certaine mesure, c’est la France qui le fait ici. »
Extrait du discours au cours de son voyage en Argentine le 3 octobre 1964
« Il n’y a jamais rien eu dans son histoire et dans la nôtre qui nous ait divisé, au contraire nous avons toujours été d’accord pour tout l’essentiel de notre vie au milieu des peuples. »
Extrait du discours au cours de son voyage en Argentine le 3 octobre 1964
« Celui qui a l’honneur de vous parler au nom des Français tient à vous dire que vous leur ressemblez fort »
Extrait du Discours à la Faculté de Droit de Buenos Aires le 5 octobre 1964
« Si la France, pour son compte, s’applique, comme vous le savez, à associer à son œuvre économique et à son développement scolaire toutes les catégories de ses citoyens, je pense qu’avec le concours de son université, l’Argentine en fait autant. »
Extrait du Discours à la Faculté de Droit de Buenos Aires le 5 octobre 1964
« La France essaie d’aider les autres à avancer sur le chemin de la civilisation. »
Extrait du discours au cours de son voyage au Venezuela le 18 octobre 1964
« Nous sommes d’accord, vous et nous, pour que toute oppression et toute hégémonie soit bannie de notre univers. »
Extrait du discours au cours de son voyage au Venezuela le 18 octobre 1964
« Cet effort délibérément organisé en commun entre nos deux Républiques, l’une d’Europe, l’autre d’Amérique latine, serait un exemple entraînant et un changement important dans l’actuelle conjoncture internationale. »
Extrait du discours au cours de son voyage au Chili le 1er octobre 1964
« Ainsi, l’Équateur et la France ont, aujourd’hui plus que jamais, tout ce qu’il faut pour se comprendre, s’entendre et coopérer. Viva el Ecuador ! Vive l’Équateur !. »
Extrait du discours au cours de son voyage en Equateur le 24 septembre 1964

«Bien entendu, on peut sauter sur sa chaise comme un cabri en disant l’Europe ! l’Europe ! l’Europe ! mais cela n’aboutit à rien et cela ne signifie rien»

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