Ce qui ressort du procès du Carlton, depuis le 4 février dernier, tient souvent de l’excès, des propos crus voire des aspects peu glorieux de la nature humaine.

On en apprend chaque jour un peu plus sur les soirées organisées par le réseau centré à Lille. Il y est question de pratiques consenties ou non, de virées payées par des fonds à l’origine douteuse, auxquelles répondent des notables qui s’évertuent à parler de «libertinage».

Face à la rigueur des juges et à l’argumentation déconcertante des prévenus, humoristes, caricaturistes et inconnus ont pris le parti d’en rire.

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