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L’IMA invoquait des carences graves qui justifiaient la résiliation d’un contrat de dix ans.

L’IMA invoquait des carences graves qui justifiaient la résiliation d’un contrat de dix ans.

Ainsi donc, Jack Lang président de l’Institut du Monde arabe ( IMA) qui demandait la résiliation du contrat qui le liait à la société de restauration libanaise Noura a été débouté le 21 mai par le tribunal civil de Paris. L’IMA invoquait, dans sa demande, plusieurs raisons : 1- la qualité culinaire laissait à désirer au restaurant le Zyriab. Or une seule doléance en deux ans avait été émise par le président de l’IMA. 2- Les
L’IMA invoquait des carences graves qui justifiaient la résiliation d’un contrat de dix ans.

Ainsi donc, Jack Lang président de l’Institut du Monde arabe ( IMA) qui demandait la résiliation du contrat qui le liait à la société de restauration libanaise Noura a été débouté le 21 mai par le tribunal civil de Paris. L’IMA invoquait, dans sa demande, plusieurs raisons : 1- la qualité culinaire laissait à désirer au restaurant le Zyriab. Or une seule doléance en deux ans avait été émise par le président de l’IMA. 2- Les règles d’hygiène et de sécurité laissaient à désirer.
L’IMA invoquait des carences graves qui justifiaient la résiliation d’un contrat de dix ans. Or note le Tribunal, « il n’a été constaté ni prolifération de nuisibles, ni manquement grave sur le plan sanitaire. » Certes, remarque encore le Tribunal, il y a eu un dépassement de la date limite d’utilisation optimale au 30 avril 2014 sur les bouteilles de Coca-Cola alors qu’elles étaient en vente au self le 23 juillet 2014. Pour autant, lit-on dans le jugement la santé des consommateurs n’a pas été mise en péril.
Pour ces raisons et d’autres, détaillées tout au long des 18 pages du jugement, le tribunal déclare « l’Institut du monde arabe mal fondé en ses demandes –en octobre 2014- tendant à la résiliation anticipée du contrat et à l’obtention de dommages et intérêts ; l’en déboute » ( le contrat avait été passé en 2007). En revanche sur la demande de paiement de factures – à hauteur de 42 000 euros- qui auraient été dues par l’ IMA, le tribunal déboute le groupe Noura.
règles d’hygiène et de sécurité laissaient à désirer.
L’IMA invoquait des carences graves qui justifiaient la résiliation d’un contrat de dix ans. Or note le Tribunal, « il n’a été constaté ni prolifération de nuisibles, ni manquement grave sur le plan sanitaire. » Certes, remarque encore le Tribunal, il y a eu un dépassement de la date limite d’utilisation optimale au 30 avril 2014 sur les bouteilles de Coca-Cola alors qu’elles étaient en vente au self le 23 juillet 2014. Pour autant, lit-on dans le jugement la santé des consommateurs n’a pas été mise en péril.
Pour ces raisons et d’autres, détaillées tout au long des 18 pages du jugement, le tribunal déclare « l’Institut du monde arabe mal fondé en ses demandes –en octobre 2014- tendant à la résiliation anticipée du contrat et à l’obtention de dommages et intérêts ; l’en déboute » ( le contrat avait été passé en 2007). En revanche sur la demande de paiement de factures – à hauteur de 42 000 euros- qui auraient été dues par l’ IMA, le tribunal déboute le groupe Noura.
Ainsi donc, Jack Lang président de l’Institut du Monde arabe ( IMA) qui demandait la résiliation du contrat qui le liait à la société de restauration libanaise Noura a été débouté le 21 mai par le tribunal civil de Paris. L’IMA invoquait, dans sa demande, plusieurs raisons : 1- la qualité culinaire laissait à désirer au restaurant le Zyriab. Or une seule doléance en deux ans avait été émise par le président de l’IMA. 2- Les
L’IMA invoquait des carences graves qui justifiaient la résiliation d’un contrat de dix ans.

Ainsi donc, Jack Lang président de l’Institut du Monde arabe ( IMA) qui demandait la résiliation du contrat qui le liait à la société de restauration libanaise Noura a été débouté le 21 mai par le tribunal civil de Paris. L’IMA invoquait, dans sa demande, plusieurs raisons : 1- la qualité culinaire laissait à désirer au restaurant le Zyriab. Or une seule doléance en deux ans avait été émise par le président de l’IMA. 2- Les règles d’hygiène et de sécurité laissaient à désirer.
L’IMA invoquait des carences graves qui justifiaient la résiliation d’un contrat de dix ans. Or note le Tribunal, « il n’a été constaté ni prolifération de nuisibles, ni manquement grave sur le plan sanitaire. » Certes, remarque encore le Tribunal, il y a eu un dépassement de la date limite d’utilisation optimale au 30 avril 2014 sur les bouteilles de Coca-Cola alors qu’elles étaient en vente au self le 23 juillet 2014. Pour autant, lit-on dans le jugement la santé des consommateurs n’a pas été mise en péril.
Pour ces raisons et d’autres, détaillées tout au long des 18 pages du jugement, le tribunal déclare « l’Institut du monde arabe mal fondé en ses demandes –en octobre 2014- tendant à la résiliation anticipée du contrat et à l’obtention de dommages et intérêts ; l’en déboute » ( le contrat avait été passé en 2007). En revanche sur la demande de paiement de factures – à hauteur de 42 000 euros- qui auraient été dues par l’ IMA, le tribunal déboute le groupe Noura.
règles d’hygiène et de sécurité laissaient à désirer.
L’IMA invoquait des carences graves qui justifiaient la résiliation d’un contrat de dix ans. Or note le Tribunal, « il n’a été constaté ni prolifération de nuisibles, ni manquement grave sur le plan sanitaire. » Certes, remarque encore le Tribunal, il y a eu un dépassement de la date limite d’utilisation optimale au 30 avril 2014 sur les bouteilles de Coca-Cola alors qu’elles étaient en vente au self le 23 juillet 2014. Pour autant, lit-on dans le jugement la santé des consommateurs n’a pas été mise en péril.
Pour ces raisons et d’autres, détaillées tout au long des 18 pages du jugement, le tribunal déclare « l’Institut du monde arabe mal fondé en ses demandes –en octobre 2014- tendant à la résiliation anticipée du contrat et à l’obtention de dommages et intérêts ; l’en déboute » ( le contrat avait été passé en 2007). En revanche sur la demande de paiement de factures – à hauteur de 42 000 euros- qui auraient été dues par l’ IMA, le tribunal déboute le groupe Noura.