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 » Je suis candidat pour défendre une certaine conception de l’utilité de l’action publique, de la valeur du travail collectif des élus de terrain, au nom d’une philosophie humaniste et progressiste plaçant le service public ».

« J’entends et je lis, ici ou là, des commentaires peu amènes, voire méprisants. Ils émanent d’observateurs qui n’ont généralement pas pris la peine de mesurer le chemin parcouru et critiqueraient de toute façon et quoiqu’on fasse, puisque c’est le sport national ».

« Cet accord entre le PS et le parti LR est l’illustration de ce que nos concitoyens ne veulent plus en politique. Aucun accord programmatique sur le fond, seulement la répartition des postes ! »

 » Je ne suis pas l’homme d’un parti. Je suis un candidat indépendant, un maire libre élu et réélu par les habitants de sa commune, et qui tente de faire entendre l’intérêt général pour une métropole libre et utile aux habitants ».

 » Je remercie d’ailleurs les conseillers métropolitains de tous bords qui m’ont déjà fait part de leur soutien ».

« Je suis un maire libre. C’est donc avec une assemblée de maires libres qu’ensemble nous ferons de la Métropole du Grand Paris une réussite pour tous, une Métropole innovante, rayonnante, durable, solidaire et libre ».

Patrick Ollier est élu, vendredi 22 janvier, à la présidence de la Métropole du Grand Paris, lors de sa séance d’installation qui se déroule pour l’occasion dans les locaux du Conseil économique, social et environnemental au Palais d’Iéna.

Le maire de Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine), investi par Les Républicains, à l’issue d’une primaire qui l’opposait à Gilles Carrez, sera le seul candidat après l’accord de gouvernance qu’il a conclu définitivement le 20 janvier avec les autres sensibilités politiques qui composent la Métropole.

Elus cette fois par vote électronique, les cinq premiers vice-présidents sont Anne Hidalgo, Gilles Carrez, André Santini, Gillles Braouezec et Philippe Dallier.

Philippe Laurent, le maire UDI de Sceaux, qui voulait se présenter en « candidat libre et indépendant », a finalement choisi de se renoncer. « À un moment donné, il ne faut pas courir le risque de faire échouer l’idée métropolitaine. Il faut faire en sorte qu’elle démarre le mieux possible », a-t-il expliqué.