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LUTTE CONTRE LE TERRORISME
« On est en face d’une guerre qui nous est menée par des totalitaires. Face à cette guerre, j’ai toujours dit que la mobilisation internationale n’est pas suffisante et qu’il n’y a pas de prise de conscience du caractère presque mondial de la menace qui pèse sur nous. »
« Puisqu’on est en guerre, cela veut dire qu’on a un ennemi. Toutes les personnes qui ont des rapports avec cet ennemi devraient être arrêtées, interrogées et jugées. »
« Il y a des dispositions du code pénal (livre IV) qui doivent être employées aujourd’hui : si vous vous rendez en Syrie, vous devez systématiquement être arrêté, interrogé et passer devant le juge. Et à partir du moment où il y a intelligence avec l’ennemi, le juge doit pouvoir vous priver de liberté. »
« Il y a des attentats quasi toutes les semaines. (…) C’est une véritable guerre. Je pense que maintenant, il faut nommer les choses : il faut arrêter de parler de Daesh et de faire comme si on était en face d’une espèce d’organisation secrète. On est en face d’un État avec les moyens d’un État. »
« Il faut maintenir l’État de droit, tout en prenant des dispositions plus sévères. »
➡️ SÉCURITÉ
Port d’arme des policiers après leurs heures de service : « Oui, [Bernard Cazeneuve] a eu raison de le faire car c’est la première fois que des policiers sont attaqués à leur domicile. »
« Les policiers ont besoin qu’on limite les missions qui sont les leurs. Il y a deux priorités : la lutte contre le terrorisme et la sécurité de l’Euro. On ne peut plus accepter qu’il y ait des manifestations à répétition dans les villes de France. (…) Il faut que Monsieur Martinez comprenne que le sens de l’intérêt général commande à ce que lui-même renonce à organiser ces manifestations. »
➡️ LOI TRAVAIL
« Cette loi ne m’intéresse pas ; il n’y a rien dedans aujourd’hui. Ce qui m’intéresse, c’est que les institutions de la République restent debout. Et François Hollande les a considérablement affaiblies. Aujourd’hui, elles sont vacillantes. »