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« Est-ce qu’on fait la révolution environnementale en une année ? La réponse est non. Je préfère les petits pas au surplace », a réagi Benjamin Griveaux.
« Je préfère les petits matins sympathiques aux grands soirs illusoires », a-t-il poursuivi.
Wauquiez (LR) « peut comprendre » que Nicolas Hulot « se sente trahi » par Macron Le président des Républicains (LR) Laurent Wauquiez « peut comprendre » que Nicolas Hulot « se sente trahi » par Emmanuel Macron.
« Nicolas Hulot, je ne partage pas nécessairement ses opinions, mais je peux comprendre qu’il se sente trahi comme aujourd’hui pas mal de Français par des promesses fortes qui avaient été faites, et le sentiment à l’arrivée que ce n’est pas très tenu », a réagi M. Wauquiez sur RTL.
« Ce que je constate surtout, c’est qu’au fond, cette démission est le reflet des conséquences des ambiguïtés des politiques de Macron. Il cherche à tout concilier, sans jamais trancher. Comme à l’arrivée tout semble être ‘en même temps’, le résultat c’est qu’il perd des personnalités comme ça », a poursuivi le patron de LR.
Mélenchon: « La macronie commence sa décomposition »
« La démission de Nicolas #Hulot fonctionne comme un vote de censure contre Macron. Il confirme le diagnostic de mon discours de samedi. La macronie commence sa décomposition », a estimé sur Twitter Jean-Luc Mélenchon.
Alain Juppé « impressionné par la hauteur de vue et la noblesse de la démarche » de Nicolas Hulot« J’écoute Nicolas Hulot qui annonce son départ du gouvernement. Je suis impressionné par sa hauteur de vue et la noblesse de sa démarche. J’espère qu’au delà du buzz politique inévitable, cette décision nous incitera tous à réfléchir et à changer », a pour sa part twitté l’ancien Premier ministre et maire de Bordeaux Alain Juppé.
Sarkozy: « Hulot ou pas », l’immigration « c’est plus important »
L’ancien président Nicolas Sarkozy a estimé mardi que les questions de l’immigration ou des impôts étaient « plus importantes » que la démission du ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot.
« Qu’il y ait monsieur Hulot ou pas, la question de l’immigration est centrale. Qu’il y ait monsieur Hulot ou pas, la question du montant des impôts qu’on paie est centrale. La question ‘est-ce que les Anglais sont des Européens ou pas’ c’est central », a déclaré sur France Culture l’ancien dirigeant du parti Les Républicains (ex-UMP).
« C’est son choix. Pour moi quand je parle de la crise qu’on a connue et qui peut revenir, c’est tellement plus important. Quand on parle de l’immigration c’est tellement plus important », a ajouté l’ancien chef de l’Etat (2007-2012), qui s’exprimait sur la crise financière de 2008.
« La vie politique dans ses soubresauts quotidiens n’est pas mon domaine », selon Nicolas Sarkozy.
« Dans tous les gouvernements, il y a des gens qui démissionnent, il y a des gens qui abandonnent, il y a des gens qui sont en désaccord, j’ai connu ça moi-même », a confié l’ancien président, qui avait choisi comme Premier ministre François Fillon.
Le ministre de l’Écologie, du développement et de l’aménagement durables Jean-Louis Borloo, un temps pressenti pour devenir chef du gouvernement, avait quitté le gouvernement Fillon en novembre 2010.
TOUTES LES AUTRES REACTIONS
« Le départ de Nicolas Hulot est la conséquence de l’absence de politique écologique de ce gouvernement. Nicolas Hulot essayait de convaincre mais n’était pas entendu, il refuse de servir de caution et il a raison », a jugé sur Twitter l’eurodéputé EELV Yannick Jadot qui s’est également exprimé en direct sur LCI.
Valérie Pécresse, LR et présidente de la région Ile-de-France:
Benoît Hamon (Génération.s):
Stéphane Le Foll (PS):
Pierre Laurent (PCF):
Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France):
