« Le parti socialiste plus prêt de la mort que de la résurrection. Ce n’avait pas commencé qu’hier. Malheureusement pour Anne Hidalgo, elle prend les restes d’une démarche mortifère et qui s’est engagé sous le mandat de François Hollande avec les frondeurs », analyse Jean-Yves Le Drian, ministère des Affaires étrangères, qui a passé plus de quarante ans au Parti socialiste. Quant à Ségolène Royal appelant au vote pour Jean-Luc Mélenchon, « elle fait ses choix et ce ne sont pas les miens. »
Il a par ailleurs justifié le fait qu’Emmanuel Macron ne soit toujours pas officiellement candidat à sa succession par le contexte international lié à la crise russo-ukrainienne, qui menace de faire plonger l’Europe dans une escalade militaire.
« Il vaut mieux dans ces conditions, quand on parle avec le président Poutine, être chef d’Etat en exercice plutôt que candidat », a souligné le ministre.