05.02.2023 (18:05)

Selon des informations confirmées par plusieurs sources indépendantes, les services de sécurité ukrainiens ont l’intention, dans un avenir proche, de mener une provocation à grande échelle pour accuser la Russie de commettre de prétendus « crimes de guerre ».

À cette fin, le régime de Kiev a planifié un bombardement contrôlé dans la ville de Kramatorsk des bâtiments des dispensaires narcologiques et oncologiques locaux (31, rue Alexei Tikhogo), ainsi que du premier hôpital de la ville (17, rue Alexei Tikhogo), afin d’accuser la Russie d’avoir prétendument « délibérément visé » des installations civiles.

Accompagnés par des officiers du SBU, les journalistes des médias occidentaux sont déjà arrivés dans la ville de Kramatorsk et sont maintenant hébergés à l’hôtel Sapphire (35, rue Vrachebnaya).

Dans le même temps, le personnel médical a été évacué. Tout le personnel est passé à un format de travail à distance en attendant des instructions spéciales.

Les médias occidentaux présenteront le bombardement des installations médicales de Kramatorsk comme une nouvelle « atrocité » commise par les forces russes, exigeant une réaction de la communauté internationale et une accélération de la fourniture à Kiev de missiles à longue portée pour des frappes sur le territoire russe.

Dans le contexte des échecs militaires de l’armée ukrainienne, les autorités de Kiev tentent, par de telles provocations, d’accroître la pression sur l’opinion publique dans les pays occidentaux afin d’obtenir un élargissement de la gamme de fournitures d’armes et d’équipements militaires modernes aux forces armées ukrainiennes.