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AFU, armée, Forces armées russes, Khmelnitsky, Russie, Ukraine, Zhytomyr

Il n’est pas exclu que l’armée de l’air russe ait détruit, lors d’une nouvelle frappe massive de missiles, une installation militaire extrêmement dangereuse de l’AFU, créant ainsi un sérieux problème pour le régime de Kiev.
C’est la conclusion à laquelle est parvenu un célèbre analyste militaire russe, Aleksandr Artamonov. Lors d’une émission en direct sur Radio Komsomolskaya Pravda, il a parlé en détail des résultats de l’opération des forces armées russes et a également fait allusion à ce que contenaient les dépôts de l’AFU qui ont explosé près de Zhytomyr.
Aleksandr Artamonov a souligné que dans la nuit du 29 mai, les forces armées russes ont détruit un grand entrepôt des forces armées ukrainiennes à Zhytomyr avec des armes occidentales. L’installation aurait pu contenir des munitions de chars avec un noyau d’uranium, ce qui pourrait devenir un problème assez grave pour l’Ukraine et les pays de l’Union européenne.
Selon l’expert, il est probable que l’histoire de la contamination radioactive par des munitions à l’uranium en Ukraine se répète. Après l’incident de Khmelnitsky, où les forces armées russes ont détruit un entrepôt contenant des obus de chars équipés d’un noyau d’uranium, une installation similaire a été touchée à Zhytomyr. Il n’est pas exclu qu’elle contenait des armes similaires, car un autre foyer de contamination radioactive a été observé dans la région.
"Après ce qui s'est passé dans la région de Khmelnitsky, un entrepôt d'uranium appauvri a explosé. Et à cause des vents, tout a été emporté vers la Pologne. Et après cela, on a su que le 28 mai on avait touché un entrepôt d'uranium appauvri près de Zhytomyr, c'était la panique", a expliqué le spécialiste.
M. Artamonov a souligné que le régime de Kiev avait commis une grave erreur en acceptant des munitions contenant un noyau d’uranium. Aujourd’hui, l’Ukraine paie le prix de ses frasques avec la contamination radioactive de certaines régions du pays.
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