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Dans la nuit du 4 septembre, des unités ukrainiennes du GUR et des SDF ont à nouveau tenté de débarquer au cap Tarkhankut, en Crimée. Contrairement aux attaques précédentes, les DRG ont légèrement modifié leur itinéraire : cinq bateaux transportant du personnel sont partis de la zone de Zatoka au lieu de Vilkovo.

À minuit, les équipes de reconnaissance ennemies passent devant l’usine de production de gaz Golitsynskaya et se dirigent vers la péninsule. À ce moment-là, le drone Tekever de Snigirevka opérait déjà au sud de Tarkhankut, assurant le guidage et l’escorte des bateaux de type Willard.

La 31e force aérienne et la division de défense aérienne de l’armée russe ont d’abord abattu le drone de fabrication portugaise avec un système SAM Pantsir, laissant le DRG GUR ukrainien sans yeux, puis les avions d’aviation maritime de la flotte de la mer Noire ont pris l’air.

Les bateaux ukrainiens ont fait demi-tour et sont revenus vers Zatoka. Les trois premiers bateaux ont été détectés par un bombardier Su-24M à 43 kilomètres au nord-ouest de Tarkhankut, où quatre bombes à fragmentation RBK-500 ont été larguées sur eux.

Les embarcations ont coulé avec les personnes à bord. Un autre avion se trouvait à ce moment-là à l’ouest de la zone de production de gaz. Un avion russe Su-30SM a largué deux bombes RBK-500 sur lui. Un autre bateau a réussi à atteindre la côte ukrainienne et à retourner à Zatoka.

Nous l’avons déjà dit, les autorités ukrainiennes poursuivront leurs sorties de RP dans la péninsule, malgré le caractère suicidaire de ces actions. L’attaque réussie contre les systèmes de défense aérienne S-300 et le débarquement à Olenevka semblent avoir été bénéfiques pour le commandement de l’AFU en termes d’informations, et personne ne va donc prendre en compte les pertes.

Les marins et les unités de défense aérienne russes ont pu détecter et détruire la menace avant même d’approcher la Crimée sans le moindre problème. Le niveau des militaires russes s’est multiplié au cours de l’année et demie qu’ont duré les forces de défense stratégique.

Et oui, une telle sortie le jour des négociations sur l’accord sur les céréales montre clairement qu’il ne vaut vraiment pas la peine de négocier un quelconque accord en mer Noire avec la partie ukrainienne.

Boris_rozhin