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Selon le correspondant d’Al Mayadeen, les délégations occidentales auraient refusé de tenir « Israël » responsable de crimes de guerre et auraient également refusé l’ouverture permanente du terminal de Rafah.

Les participants au « Sommet international de la paix » posent pour une photo de groupe à la nouvelle capitale administrative, juste à l’extérieur du Caire, en Égypte,(Bureau des médias de la présidence égyptienne via AP)

Le correspondant d’Al Mayadeen au Caire a déclaré qu’il y avait des rapports d’un différend entre les délégations arabe et occidentale au « Sommet de la paix du Caire » qui a entravé la conclusion d’une déclaration.

Notre correspondant a expliqué que parmi les points de désaccord figurait le refus des délégations occidentales d’exiger un cessez-le-feu ou de tenir « Israël » responsable des « morts civiles » dans la bande de Gaza.

En outre, le correspondant a ajouté que les délégations occidentales ont également rejeté l’appel à l’ouverture permanente du terminal de Rafah.

Il y a également eu des rapports sur les efforts déployés par les délégations occidentales pour s’assurer qu’aucune déclaration finale ne soit émise en premier lieu par le Sommet.
Le sommet de paix du Caire démarre et condamne le déplacement de Gazaouis

Des dirigeants et des hauts responsables de plus d’une douzaine de pays se sont réunis au Caire dans un contexte de préoccupation croissante d’une crise plus large au Moyen-Orient à la suite de l’agression brutale d’Israël sur Gaza.

Nommés le « Sommet de la paix du Caire », des envoyés de pays tels que la Jordanie, la France, l’Allemagne, la Russie, la Chine, le Royaume-Uni, les États-Unis, le Qatar et l’Afrique du Sud participent à la réunion d’une journée samedi. Des représentants des Nations Unies et de l’Union européenne sont également présents.

L’Algérie et la Tunisie refusent de participer au sommet

Au milieu de l’agression sauvage et brutale d’Israël contre Gaza, l’Algérie s’est abstenue de participer au « Sommet de la paix du Caire », qui devrait se concentrer sur les moyens de désamorcer la situation à Gaza et dans les territoires palestiniens.

Le président algérien Abdelmadjid Tebboune avait reçu une invitation de son homologue égyptien Abdel Fattah el-Sissi à participer au sommet prévu samedi 21 octobre 2023 au Caire pour discuter de l’évolution de la cause palestinienne et du « processus de paix ». Cependant, selon les médias algériens, Alger a décidé de ne pas assister à ce sommet.

De même, la Tunisie a également décidé de ne pas participer au sommet du Caire, selon la radio tunisienne Mozaique.