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Emmanuel Macron, Gaza, Israël, Palestine, Qatar, Tamim bin Hamad Al Thani
Le président français discutera d’une série de questions relatives à la guerre contre Gaza, telles que les stratégies pour relancer la pause humanitaire, libérer plus de captifs et négocier des pourparlers de paix.

le président français Emmanuel Macron se rendra au Qatar, l’un des principaux médiateurs de la guerre contre Gaza, au cours de laquelle il doit se réunir avec l’émir qatari Tamim bin Hamad Al Thani.
C’est à la lumière des informations selon lesquelles au moins quatre colons de nationalité française seraient détenus par le Hamas.
Macron se rendra au Qatar depuis Dubaï, où il a assisté à la conférence de la COP28 et aurait discuté de la guerre avec plusieurs dirigeants régionaux, dont le président égyptien Abdel Fattah Sisi.
Il y a deux semaines, le président chinois Xi Jinping et Macron ont eu une conversation téléphonique au cours de laquelle ils ont discuté de la guerre contre Gaza et ont déclaré que le principe des « deux États » est la seule solution à la situation.
Macron a récemment retiré ses déclarations initiales, surtout avant que la première trêve ne soit mise en œuvre.
Le monde doit travailler sur un cessez-le-feu humanitaire comme seul moyen de préserver la vie dans la région, selon Macron, qui a critiqué les propositions israéliennes de forcer les résidents dans des « zones sûres » présumées dans la partie sud de Gaza.
Dans son discours à la conférence humanitaire tenue à Paris, Macron a qualifié les propositions de très mauvaise idée qui ne peut garantir la sécurité des personnes à Gaza.
Il a également déclaré que les frappes israéliennes sur la bande de Gaza « n’ont aucune raison ni légitimité et doivent être arrêtées. »
« De facto – aujourd’hui, les civils sont bombardés – de facto. Ces bébés, ces dames, ces vieillards sont bombardés et tués. Il n’y a donc aucune raison pour cela et aucune légitimité », a déclaré Macron à la BBC le 11 novembre, affirmant qu’il n’y avait « aucune justification » pour l’attentat.
Tout en continuant à dire que « Israël » a le « droit de se défendre », il a appelé à la fin des bombardements incessants.
« Nous exhortons Israël à arrêter », a-t-il dit.
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