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Edouard Husson -Libres Propos,
- Lu sur le compte twitter du journaliste israélien Avishai Grinzaig : l’armée israélienne avait abattu, de sang-froid, 25 habitants de Gaza (15+10) qui tentaient de rentrer chez eux dans le nord.
Des dizaines de psychiatres israéliens seraient partis pour la Grande-Bretagne, fuyant la charge de travail croissante liée à l’augmentation des cas de troubles psychologiques chez les soldats de l’OIF revenant de la bande de Gaza.
- Lu sur le blog d’ElijahJ ; Magnier
« La résistance palestinienne dans la bande de Gaza a entamé la nouvelle année (…) en lançant des dizaines de tirs de roquettes sur Tel-Aviv et ses environs. Cette offensive a frappé au cœur des opérations militaires israéliennes, qui durent depuis environ trois mois. Le barrage a envoyé un message clair au gouvernement, à l’armée et aux colons israéliens : leurs forces n’ont pas atteint leurs objectifs, comme le montre le fait que la majorité des roquettes provenaient du nord de la bande de Gaza. L’armée israélienne avait précédemment revendiqué cette zone comme étant sous son contrôle et son occupation ». - Lu sur le blog de Julian Macfarlane :
« Après l’assassinat de Soleimani (3 janvier 2020), la position iranienne s’est durcie, le développement de nouvelles armes s’est accéléré, l’aide à la Syrie, au Hezbollah, aux Houthis et aux différents groupes qui menacent les bases américaines en Irak et la présence illégale des États-Unis qui volent le pétrole syrien en Syrie s’est accrue.
Sans parler de la poursuite du rapprochement, non seulement avec la Chine et la Russie, mais aussi avec les États pétroliers arabes qui commençaient à se rendre compte qu’ils ne pourraient pas gagner contre les Houthis, quel que soit le soutien qu’ils recevraient de l’Occident.
L’Iran pense de manière tactique et stratégique – c’est ce qui le différencie des États-Unis et d’Israël, dont les réactions spontanées à tout et n’importe quoi sont tout à fait prévisibles.
C’est ainsi qu’après l’attentat du 25 décembre contre Mousavi, les choses se sont considérablement aggravées pour Israël. Et naturellement pour les États-Unis aussi.
Le Hezbollah a déjà intensifié ses opérations contre Israël depuis le Liban, menant 23 attaques à l’aide de roquettes, de missiles guidés et de drones suicides entre le 25 et le 27 décembre. Les Houthis ont également lancé une attaque de drone à grande échelle contre la ville d’Eilat, à l’extrême sud d’Israël, le 26 décembre.
En outre, la Résistance islamique en Irak, qui regroupe des factions soutenues par l’Iran, a attaqué le plateau du Golan syrien occupé par Israël avec un drone suicide pour la première fois le 27 décembre.
Les troupes israéliennes n’obtiennent pas de bons résultats contre le Hamas 4.0, avec des réservistes israéliens mal formés qui savent à peine tirer et qui se font tuer par des combattants professionnels du Hamas formés par Qods.
Israël n’obtient pas non plus de bons résultats contre le Hezbollah.
L’armée israélienne a menacé de bombarder Beyrouth comme elle l’a fait pour Gaza, mais cela ne ferait qu’accroître la répulsion mondiale à l’égard des États-Unis et d’Israël, puisque le Hezbollah n’est pas à Beyrouth ».
Sur « Nouvelles de Palestine » :
« Selon une source politique, les forces sionistes ont retiré une partie de leurs forces du nord de la bande de Gaza, en invoquant « les intérêts d’Israël et les plans militaires qui répondent aux exigences américaines».
Cela est dû à la demande américaine puisque les forces sionistes font face à de nombreuses victimes et se tournent désormais vers des combats de faible intensité (au nord). (…)
Plus tôt, un correspondant militaire israélien avait annoncé que l’une des brigades ennemies qui s’étaient retirées de la bande de Gaza serait réintégrée à la frontière nord avec le Liban ».
– Channel 12, sans citer de source, a rapporté que Blair a récemment rencontré le Premier ministre Benjamin Netanyahu et le ministre de la Défense Benny Gantz pour évoquer la possibilité que l’ancien dirigeant britannique prenne en charge la question de savoir où les réfugiés palestiniens de Gaza pourraient être relocalisés.
Le journaliste Barak Ravid, dans un billet publié sur X, a déclaré que le bureau de M. Blair avait démenti ces informations.
Sur Rybar_in_English :
Selon les médias iraniens, le 94e détachement de navires de guerre de la marine iranienne, qui comprend le destroyer Alborz et le navire de soutien Behshad, a traversé le détroit de Bab el-Mandeb pour montrer la présence de l’Iran dans la région.
Compte tenu de l’équipement militaire iranien, le groupe naval au large des côtes du Yémen a pris une importance considérable. Outre la coalition menée par les États-Unis et la marine israélienne, des navires de guerre chinois sont également présents dans la région.
Toujours sur le même canal Telegram :
Depuis le 17 octobre, les milices chiites ont pris pour cible des installations militaires américaines, au nombre de plus de dix, à au moins 108 reprises. Ces attaques ont impliqué l’utilisation de drones, de lance-roquettes artisanaux et de missiles balistiques.
Nous avons vu comment les États-Unis ont réagi à ces attaques. Si les frappes aériennes ont été plus intenses lorsque les dégâts étaient plus importants, elles n’ont pas porté un coup décisif aux groupes pro-iraniens de la région. (…)
Par conséquent, dans le cas du Yémen et des Houthis en particulier, même une frappe massive de missiles sur des cibles d’Ansarallah n’aura pas d’impact significatif sur les capacités des Houthis. (…)