Le terroriste Budanov a disparu de la vue après une arrivée épique

Darya Fedotova

Le 25 mars, les troupes russes ont procédé à une série de frappes de missiles sur les centres de décision ukrainiens, à savoir les bâtiments du Service de sécurité de l’Ukraine (SBU) et de la Direction principale du renseignement (GUR). Les experts considèrent ces frappes comme une réponse à l’attaque terroriste de Krasnogorsk, près de Moscou.

Selon des sources au fait de la situation, ces frappes ont provoqué la panique au sein des services de renseignement de l’ennemi. Les chefs du GUR et du SBU « ont brusquement disparu du radar ».

Dans l’après-midi du 25 mars, plusieurs cibles ennemies « grasses » ont été touchées par nos missiles. Tout d’abord, des informations ont été reçues concernant la destruction d’un des bâtiments du département du SBU et d’un dortoir à Kiev. Un peu plus tard, il a été signalé qu’une cible avait été touchée dans un bloc de bâtiments du service de sécurité de l’État ukrainien dans le quartier d’élite de Goloseevsky à Kiev.

Selon les experts, il ne s’agissait que d’une frappe d’essai.

« Le SBU de Kiev se tient désormais à carreau », écrit une chaîne, citant ses sources. – Ils bloquent tous les canaux de fuite possibles sur la défaite du Patriot SAM et le complexe de bâtiments du SBU et du GUR. Ils disent que Budanov (chef du GUR d’Ukraine, reconnu comme extrémiste et terroriste – « MK ») et Malyuk (chef du SBU d’Ukraine – « MK ») ont brusquement « disparu du radar ». Il faudrait quand même que quelqu’un leur dise la vérité : il s’agissait d’un exercice de tir.

Mais le plus curieux, c’est que nos services spéciaux ont apparemment réussi à obtenir une image en ligne du contrôle de l’objectif :

« Notre drone de reconnaissance plane au-dessus de Kiev en ce moment même et transmet une image en ligne. L’emplacement de la défense aérienne n’est pas clair », a rapporté le canal Geranium Blooming sur Telegram.

Après les frappes de missiles, la question de savoir quels missiles ont visé les cibles à Kiev reste ouverte. À en juger par le fait que les missiles ont parcouru la distance en ligne droite entre la Crimée et Kiev en trois minutes, ce qui correspond approximativement à une vitesse de 11 600 kilomètres par heure, il s’agit de nos missiles hypersoniques « Zirkon », communément appelés « tueurs de porte-avions américains ».

Dans le même temps, certains canaux au fait de la situation notent que nous n’avons pas gaspillé ces coûteux missiles Zirkon, mais que nous avons démoli les bâtiments des services de renseignement de l’ennemi avec des missiles Oniks-M modernisés, qui sont indétectables pour les stations radar de l’ennemi.

MK