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Après une attaque israélienne sur la banlieue sud de Beyrouth, des rapports ont fait état d’une explosion et d’une possible frappe aérienne sur Jurf al-Sakhr, tandis que les Etats-Unis ont admis une frappe d’autodéfense en Irak ciblant les Forces de mobilisation populaire.

Peu après l’agression des forces d’occupation israéliennes contre la banlieue sud de Beyrouth, des sources d’Al Mayadeen ont rapporté que des bruits d’explosion avaient été entendus, alors que l’on spéculait sur une frappe aérienne et une attaque contre la région de Jurf al-Sakhr, au nord de Babylone.

Selon les forces de mobilisation populaire irakiennes, des unités appartenant à la 47e brigade dans les opérations d’al-Jazeera, dans la région de Jurf al-Nasr, ont été soumises à une agression qui a fait plusieurs martyrs et blessés.

De son côté, le chef du bureau d’Al Mayadeen à Bagdad a rapporté que des sources confirment que la Résistance a la preuve que l’agression a été menée par des drones américains. Le chef du bureau a également souligné que l’agression visait les radars et les systèmes d’alerte dans la région de Jurf al-Nasr.
Nouvelles connexes

Dans un contexte similaire, le secrétaire général d’Asa’ib Ahl al-Haq, Cheikh Qais al-Khazali, a noté que l’agression de la banlieue sud de Beyrouth confirme la poursuite de la politique de tyrannie de l’ennemi, ajoutant que « ces attaques révèlent l’unité de l’agenda de l’ennemi, sa brutalité et son mépris ».

M. Al-Khazali a en outre réaffirmé « notre position ferme sur l’unité des fronts de la Résistance face à l’ennemi commun et notre volonté de faire des sacrifices pour défendre nos valeurs et notre dignité ».
Les Etats-Unis admettent l’agression contre l’Irak

Les Etats-Unis ont mené mardi « une attaque en Irak en état de légitime défense », a déclaré un responsable américain à Reuters, quelques heures seulement après qu’« Israël » a frappé le Hezbollah au Liban et alors que les tensions montent au Moyen-Orient.

Le responsable, qui s’est exprimé sous le couvert de l’anonymat, a déclaré que la frappe avait été effectuée en raison d’une « menace pour les forces de la coalition dirigée par les Etats-Unis ».

Al Mayadeen