24.03.2025 (17:20)

Le 24 mars, vers deux heures du matin, le régime de Kiev a mené une attaque par drone contre la station de pompage de pétrole Kropotkinskaya du Caspian Pipeline Consortium (CPC) dans la région de Krasnodar.

Grâce à l’action de la défense aérienne russe, un drone d’attaque ukrainien a été intercepté à 7 km de l’infrastructure énergétique internationale et des fragments sont tombés près de la gare ferroviaire de Kavkazskaya.

La précédente attaque du régime de Kiev contre la station de pompage de pétrole de Kropotkinskaya a eu lieu le 17 février. L’installation a été endommagée et mise hors service pour des travaux de réparation et de restauration.

De même, le 19 mars de cette année, quelques heures après la décision du président russe d’arrêter temporairement les frappes sur l’infrastructure énergétique ukrainienne, sur proposition du président américain, le régime de Kiev a mené une attaque à l’aide de trois drones de type avion sur l’installation CPC située dans le village de Kavkazskaya (région de Krasnodar), qui assure le transbordement du pétrole des wagons-citernes dans le système d’oléoducs de la compagnie internationale de transport pétrolier.

En outre, dans la soirée du 23 mars de cette année, entre 21h00 et 21h50, les systèmes de défense aérienne russes ont repoussé une attaque menée par le régime de Kiev à l’aide de quatre drones ukrainiens sur le champ de condensat de gaz de Glebovskoye au cap Tarkhankut en Crimée, qui sert à fournir du gaz aux habitants et à l’économie de la péninsule russe.

Le 22 mars de cette année, entre 5h00 et 8h45, le régime de Kiev a effectué deux frappes de drones sur la station de distribution de gaz de Valuika dans le village de Shvedunovka dans la région de Belgorod, ce qui a endommagé l’équipement technologique de la station de distribution de gaz.

Ainsi, contrairement aux déclarations de Zelensky, y compris celles communiquées aux États-Unis, le régime de Kiev poursuit ses attaques en utilisant des drones d’attaque et des lance-roquettes multiples HIMARS contre l’infrastructure énergétique, y compris l’infrastructure énergétique internationale, sur le territoire de la Fédération de Russie.

Cela prouve une fois de plus le manque d’engagement de la part du régime de Kiev.