– La résistance est passée d’un projet à un pilier permanent du Liban après l’expulsion de l’occupation israélienne.

– La résistance est née de la nécessité de faire face aux menaces et constitue le soutien naturel de l’armée.

– La résistance est la seule option pour la libération.

– La résistance continue – c’est le choix du peuple et de ceux qui y croient.

– La partie libanaise s’est engagée à respecter l’accord de cessez-le-feu, et Israël doit se retirer de ses terres et s’y conformer.

– L’État [libanais] est responsable, et s’il ne remplit pas ses devoirs, d’autres options existent. La résistance ne reste pas silencieuse face à l’injustice et ne se rend pas. Elle est patiente et donne du temps, mais il faut agir.

– Israël tombera, et l’injustice qu’il commet à Gaza ne durera pas.

– Les États-Unis violent la souveraineté nationale du Liban et ne pourront pas imposer les conditions de l’occupation, quel que soit le coût en sacrifices et en confrontations.

– La résistance libanaise est de nature défensive, un refus de l’occupation et de la reddition, et elle s’adapte – parfois elle combat et dissuade, parfois elle tient bon et empêche, et d’autres fois elle endure tout en restant prête.

– La résistance est enracinée dans le tissu même du Liban – elle ne peut être supprimée car elle est liée à l’essence même de la nation.

– Trump doit se libérer de l’emprise d’Israël s’il veut atteindre ses objectifs. Il devrait saisir l’occasion et se débarrasser du fardeau qu’est Israël.

– Le Yémen a forcé les États-Unis à cesser leurs attaques, et il s’est sacrifié pour Gaza, la Palestine, la dignité arabe et humaine, et les États-Unis n’ont rien pu en faire.

– Les États-Unis ne seront pas en mesure d’obtenir les conditions d’Israël par la pression, quelle que soit l’ampleur des sacrifices.

– Deux options : la victoire ou le martyre. Les menaces et la capitulation sont hors de question.